La Chambre de commerce La Chambre de commerce


Vous devez cette carte postale à la gentillesse de Pierre-Charles M.
(vous pouvez visiter son site -çà vaut le détour - http://perso.orange.fr/chardonneret99 )
Je pense qu'il y a erreur dans la légende de cette carte
Il semble qu'il s'agit du Tribunal de Commerce
le bâtiment en arrière plan étant l'hôpital Baudens




Les lions de l'hôtel de ville L'hôtel de ville


Façade renaissance sous l’imposante vigilance des deux lions en Bronze signés Caïn qui flanquent les marches d’escalier
A l'intérieur, les escaliers de marbre blanc accompagnés de massives rampes - main-courante et balustres - en onyx rouge, conduisent à la belle salle du Conseil municipal
La Mairie avait subi d'importants dommages, juste avant l'Indépendance. Elle a été réparée et reste aujourd'hui aussi majestueuse avec ses lions.




le musée le musée

Musée Ahmed Zabana (ex Musée Demaëght), Bibliothèque municipale, Ecole des Beaux-Arts au style dorique et aux frises polychromes rappelant des scènes mythologiques grecques.
Edifié en 1830, il est artistique, archéologique et scientifique. On y trouve des collections de préhistoire, d'archéologie, des beaux-arts, d'ethnographie, et d'histoire naturelle.
Le musée a été fermé un certain temps, mais aujourd'hui il est de nouveau ouvert au public. Sa bibliothèque contient 29 000 volumes et 3 manuscrits arabes. Elle occupe l'aile droite du bâtiment.




A Sidi Houari

L'hôpital Baudens
Construit de 1846 à 1850 à l'emplacement du Colisée
et d'anciens couvents espagnols.

L’association Santé Sidi Lahouari qui a bénéficié d’une aide estimée à 300.000 euros pour la restauration du vieil hôpital Baudens s’est fixée une échéance de deux années pour concrétiser son projet.
Cette aide attribuée par l’Agence espagnole de coopération internationale (AECI) permettra la création d’une école-atelier, spécialisée dans la restauration des édifices et autres bâtiments. (L'écho d'Oran du 18 décembre 2007).


La Gare

La Gare


La grande poste,

La grande poste, Place du Maghreb (ex Place de la Bastille)

4 avril 1949 – 4 avril 2007
Ahmed Ben Bella, à la tête d’un commando, braque la Grande Poste d’Oran.
Ce qui aurait pu être interprété (5 ans avant le 1er novembre 1954) comme une attaque de malfaiteurs, était en fait une attaque bien planifiée afin de fournir à l’Organisation Secrète (O.S.), branche armée du MTLD, des fonds pour constituer un arsenal de guerre.




Le théâtre Le théâtre Le théâtre Le théâtre

Le théâtre dit "National Algérien" (ou théâtre ALLOULA), Place du 1er Novembre 1954 (ex Place d'Armes) Architecture classique et élégante des théâtres lyriques.
Il est couronné de deux coupoles dorées qui encadrent trois statues allégoriques exécutées par le sculpteur Fulconis. Elles représentent la Tragédie, la Comédie et l'Opéra.




bel immeuble

Boulevard de la Soummam, bel immeuble de style haussmannien




bel immeuble

Le Crédit Populaire Algérien
(20 mars 2007) La privatisation du Crédit populaire d'Algérie (CPA) joue les prolongations. Selon des informations recueillies par le Quotidien d'Oran à Paris, le nom de l'acquéreur de la banque publique ne sera pas connu avant plusieurs mois.




les arènes les arènes

Les Arènes d’Eckmühl




Photo appartenant à José B. de la Marine, lors d'un voyage à ORAN en 2003 la Fontaine

La fontaine Aucour, Place de la République, à la mémoire de l'ingénieur des Ponts et Chaussées français AUCOUR qui combla Oued Er'Rhi (une partie du ravin Ras-el-Aïn)pour en faire le Boulevard de Stalingrad, aujourdh'hui Boulevard Khedim Mustapha.
(les statues des hippocampes, en bronze à l'origine, ayant disparu, ont été remplacées par leurs répliques en fer, peintes en vert "bronze")




le Trésor

Le Trésor Public (ex Banque de l'Algérie)




le Trinunal

Le Palais de Justice, aujourd'hui Tribunal Benzerdjeb.




Le Sacré Coeur

La cathédrale du Sacré-Coeur de Jésus, de style romano-byzantin, avec une façade grandiose, flanquée de deux clochers carrés.
Elle fut consacrée en 1930 (à la place de l’Eglise St Louis, jusqu’alors cathédrale d’Oran), et fut ouverte au culte catholique en 1913.

La cathédrale a perdu sa statue de Jeanne d'Arc en bronze doré, érigée en 1931, qui ornait la place devant le parvis. Après l'indépendance, elle fut rapatriée à Caen (dans le Calvados) où on peut encore l’admirer.
La place est devenue celle de la Kahina.

On peut souligner l'incongruité d'une telle appellation puisque la Kahina symbolise la résistance à l'invasion arabe. Selon la tradition, en effet, la Kahina, reine des Berbères de l'Aurès était juive.
Elle résista 5 ans aux assauts des troupes arabes avant d'être tuée en 698. Ce fut sa mort qui donna le signal de la reddition des tribus berbères judaïsantes.




Le Sacré Coeur Le Sacré Coeur

Aujourd'hui, la cathédrale est devenue bibliothèque municipale et accueille, chaque jour, de nombreux étudiants oranais.




Le Sacré Coeur
Le Sacré Coeur
Le Sacré Coeur
Le Sacré Coeur
Le Sacré Coeur Le Sacré Coeur

Aujourd'hui, la cathédrale




La synagogue Intérieur de la synagogue


Construite à l'initiative de Simon Kanoui à partir de 1880, par souscription, elle est inaugurée en 1918.
Par ses lignes de style byzantin judéo- arabe, elle évoque son grand passé biblique.
Le centre de vie du quartier juif était la grande synagogue, Boulevard Joffre dont un coté donnait sur le Bd Magenta, avec les bureaux des œuvres juives et se dirigeait vers le quartier de Saint Antoine (où je suis né).
Le Boulevard s’appelle aujourd’hui Bd Maata Mohamed el Habib.
Elle était considérée comme la plus belle du monde avec celle de Turin. L’intérieur qui pouvait contenir plus de 1000 personnes en bas et dans les deux étages (réservés aux femmes) était somptueux avec ses marbres venus d’Italie. Elle était équipée d’orgues et ses chanteurs étaient réputés.

Le fronton de l'ex-synagogue

C'est aujourd'hui une mosquée : le croissant et l'étoile ont remplacé l'étoile de David. L'horloge appelle les fidèles à la prière.
Les objets du Culte de la Synagogue ont été rapatriés à Strasbourg.



La mosquée du Pacha La mosquée du Pacha La Mosquée du Pacha


Construite à la fin du 18ème siècle (1792-1796 ?) par les Turcs sous le Bey Mohamed El-Kébir sur ordre de Baba Hassan, Pacha d'Alger.
Sa construction aurait été financée au départ définitif des Espagnols avec l’argent du rachat de leurs prisonniers.
Son minaret, attenant à la mosquée, de forme octogonale de 11m50 de diamètre, de type ottoman repose sur douze arcs et le distingue des autres minarets de la ville. Type de mosquée à coupoles sur plan carré .
On y trouve un bassin à ablutions entouré d’ arcades et une superbe salle de prières.
Sur la terrasse joli point de vue sur les ruelles étroites du quartier et sur les coupoles.
Du haut du minaret on peut découvrir l’ancienne ville, la montagne de Santa-cruz, le ravin Ras-el-aïn et la mer.



L'église Saint Louis L'église Saint Louis

L'église Saint Louis a été construite en 1679 par les espagnols sur l’emplacement d’une Synagogue, mais était une mosquée à l’origine.
Elle fut saccagée par les musulmans en 1708, et réaffectée au culte Israélite jusqu’à la reprise de la ville par les Espagnols en 1732, date à laquelle elle redevint église.
En grande partie détruite par le tremblement de terre de 1790, elle fut abandonnée en 1792 par les Espagnols, en même temps que la ville. Elle resta longtemps à l’état de ruine, et ne fut reconstruite qu’en 1838, par les Français.
Elle sera élevée au rang de cathédrale en 1866.
Quatre imposantes statues attendaient les fidèles : Saint Augustin, Saint Louis roi de France, Saint Vincent de Paul et Saint Irénée, saint Patron de Lyon qui était jumelée avec Oran.
La cathédrale Saint Louis dans les années 80 abritait une école de couture et servait de logement à une famille musulmane.





suite